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 Laila Clennam

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AuteurMessage
Laila Clennam

Laila Clennam
Messages : 2844
Date d'inscription : 04/05/2012
Age : 27

Carte Chocogrenouille
Âge du personnage: 17 ans
Double-compte: Matthias et Margaret
Travail/Etudes: 6e année Poudlard

Laila Clennam Empty
MessageSujet: Laila Clennam   Laila Clennam Icon_minitimeMar 22 Mai - 14:52



Laïla Clennam
Inventé
Laila Clennam Carey1
© alessiamonari
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© alessiamonari
Laila Clennam Careym-5
©alessiamonari


Laila Clennam B06rv6d45wke7cgz2rg



Le personnage

Nom : Clennam ; Prénom Laila; Âge : 16 ans ; Date de naissance:  20 septembre 2006;  Pureté de sangNée moldue; Baguette magique: 13 pouces et un quart, laurier, cheveux de licorne, flexible;


Physique :
D’une taille moyenne, Laila n’a pas l’air d’une Laila. Elle a le profil d’une Emily ou d’une Kitty. Mais bébé naissante, ses parents ne furent pas assez sorciers pour lui choisir un nom qui allait lui coller au visage pour le restant de ses jours. Elle a pourtant bien prouvé être une fille de travailleurs en ville : pour faire plus pratique, elle s’est coupé les cheveux courts l’été passé. Avant, elle avait de longs cheveux bruns châtains. Maintenant, elle joue avec la couleur de ses cheveux, à l’aide de sa baguette, en passant de blond platine à brun rougeâtre.  Elle a des petites mains, souvent recouvertes d’encre. Des yeux bruns, sans traits extraordinaires. Son physique n’est pas grandiose, en effet. C’est une fille normale, qui n’est pas d’une beauté exceptionnelle et qui n’a ni sourire mesquin, ni regard intriguant. Elle ressemble à une petite souris. Pourtant, il y a quelque chose de si confortable dans sa présence, quelque chose de si chaleureux dans son aura. Elle n’est pas mystérieuse, mais tellement normale que ça en devient rafraîchissant.


Caractère :
Laila se prend trop au sérieux. Elle a quinze ans et se croit une sage prématurée. C’est sûr, elle se permet des moments d’immaturité; elle ne s’arrête pas de vivre. Mais parfois elle a des pensées un peu trop profonde pour son bien. Elle va souvent se recueillir le soir, au bord de la fenêtre, autour de minuit, lorsque la nuit devient plus claire, explorant ses opinions sur la vie. Car elle est bien décidée à se former des avis sur tout ce qu’elle connaît. Mélodramatique, elle a parfois l’impression de vivre toujours sous le masque de la comédie : tous les gestes qu’elle exécute, toutes les expressions qu’elle affiche sont destinés à être vus. Surtout lorsqu’elle est seule, elle va prendre des airs et jouer un rôle, pour si jamais quelqu’un l’espionnait. Peut-être a-t-elle lut trop de romans moldus.

Si je disais qu’elle était réservée, il ne faudrait pas penser qu’elle est asociale. Au contraire, elle apprécie beaucoup la compagnie d’autrui. Si je dis qu’elle est réservée, il faut plutôt savoir qu’elle n’est pas de celles qui se mêlent de la vie de tous, qui vont faire le premier pas, qui  racontent tous leurs secrets. Elle choisit ses amis, et même à cela, elle garde ses pensées les plus profondes à elle-même. Toutefois, elle est compétente dans l’art de la conversation, je dirais plutôt très. Futée et vive d’esprit, elle ne manque jamais sa réplique.  

Sa perception du monde est un peu blasée, même si elle essaye de se convaincre qu’il y a plus de chance d’être heureux que d’être malheureux.  Elle se régale dans les petits plaisirs de la vie, comme se coucher sur du gazon doux, ou bien sauter dans un tas de feuilles mortes. Sur certains points, elle est encore très naïve et enfantine, mais pour beaucoup d’autres choses, elle est plus mature que son âge. Elle a le cœur à la bonne place et quelque part au fond, elle le sait. Très confortable avec elle-même, c’est donc avec aisance qu’elle transmet des ondes positives à son entourage.

Au niveau de son contact avec autrui, elle ne suivrait pas tout à fait les dires de Jean-Paul Sartres (philosophe moldu),  mais parfois elle croit réellement que l’enfer c’est les autres.  Autant elle aime avoir une discussion intéressante avec quelqu’un, elle redoute les conversations mondaines. Elle évite donc certaines personnes qui l’accaparent de leurs histoires ennuyantes, notamment les premières et les deuxièmes années. Puisqu’elle a une réputation d’être gentille avec tout le monde, elle se fait approcher par toutes sortes de personnages. Souvent bien à son désarroi.

Les statuts sanguins ne la gênent pas trop; elle, qui est née-moldue, ne peut pas juger les autres sur leur descendance. Certes, elle est au courant que certaines personnes le font, mais elle est capable de passer au-delà de leurs préjugés. Elle accepte les personnalités arrogantes, fières, pompeuses lorsque les gens le méritent. Elle aime se tenir avec la crème de la crème de Poudlard, parce que ça lui fait toucher à de la noblesse, titre qu’elle jalouse un tantinet. Mais cela ne la rend pas impertinente envers le commun des mortels. Elle connaît sa place, après tout.

Ses plus grands défauts sont probablement l’orgueil, l’impatience et la difficulté de pardonner des offenses importantes. Elle ne tient pas rancune facilement, mais lorsqu’elle le fait, c’est pour longtemps. Elle ne déteste pas beaucoup de gens; si oui, elle saurait probablement les limiter à une personne, pas plus. À quoi ça sert vraiment, la haine, sinon de drainer toute notre énergie?

Laila est véritablement pleine de qualités, malgré son enfance volée. C’est une survivante. Elle n’a survécu à rien d’extraordinaire, non. Juste à sa vie. Toute seule depuis si longtemps, elle se sent parfois exclue de la norme; elle désespère à vivre le reste de ses jours en solitude. Parfois, ne pouvant plus supporter sa propre existence, elle va se réfugier dans un livre, oubliant tout autour d'elle.  En vérité, elle essaye d’oublier le passer, vit à fond dans le présent mais redoute le futur. Elle ne sait pas ce qu’elle veut faire; elle ne veut pas quitter Poudlard, puisqu’elle n’a nulle part où aller après. Sûr, il y a toujours Oswin et sa famille pour la dépanner, mais elle aimerait avoir un but, une passion. Réussir des examens et rouler des vieux manuscrits, ce sont ses plaisirs quotidiens, mais à long terme, il n’y a rien qui la motive réellement. Si elle avait été moldue, elle se serait lancée dans de la production théâtrale. Mais elle était sorcière. Son plus grand problème.  


L'Histoire
Minimum 30 lignes
L’enfant tremblait encore. Paralysée de frayeur, elle ne cligna même pas des yeux. Ceux-ci, troublés, fixaient le petit chat endormi dans son panier. Il était revenu. Sa patte était guérie. Subitement, il ouvrit se réveilla et son regard jaune glaça le sang de la fillette.

*Une demi-heure plus tôt*

-Est-ce qu’il va mourir? , bredouilla la petite fille, les cils perlés de larmes.

-Non mon cœur. On va l’amener chez le vétérinaire et il se fera soigné, répondit calmement sa mère. Celle-ci était assise à table, en train de finir sa tasse de café et de lire le journal, la page ouverte sur la rubrique « politique ».

-Est-ce que Banane a mal?

-…Oui mon cœur.

Vieille d’à peine six ans, la petite se mordit la lèvre. La veille, elle avait tenté une expérience scientifique et n’avait pas considéré les conséquences ni les risques que celle-ci pouvait entraîner. Curieuse comme elle l’est, elle avait voulu vérifier si les chats retombaient réellement sur leurs pattes. Elle soumit son nouveau chaton à ce test. L’animal, peureux de nature, avait paniqué en mi-chute et s’était arrangé pour se fracturer la patte en tombant sur le duvet de l’herbe. Tout le voisinage avait été mit au courant par les cris de la scientifique en herbe.

Les Clennam habitaient dans un  quartier familial de Londres, entourés de parcs et de terrains de jeux. Le couple avait voulu une maison où il pourrait élever une file d’enfants, Curieusement, après la naissance de leur première fille, aucuns autres petits pas n’étaient venus faire trembler le plancher de la maison. L’enfant unique ne se plaignait pas. De toute façon, comment s’ennuyer de quelque chose qu’elle n’a jamais connu? Elle se contentait des enfants du quartier et de ses amis d’école; elle était entrée à la petite école et y excellent, à la grande fierté de ses parents. Tous deux politiciens et de grands intellectuels, ils s’émerveillaient de la grande capacité potentielle de leur fille. Et à cause du petit chat, tout cela allait changer…

Le petit chat : il s’était rompu un de ses quatre membres et miaulait misérablement dans son panier. La petite fille s’approcha avec caution du blessé. Celui-ci écarquilla des yeux et miaula de plus belle en voyant son bourreau s’avancer.

- Laila, n’énerve pas la pauvre créature…

-Non non maman, je veux juste…

Elle ne finit pas sa phrase. Elle avait étendu la main et avait touché délicatement la blessure de l’animal. Un nuage d’étincelles enroba la patte du félin et se propagea sur l’entièreté de son corps. Le père de Laila, qui préparait son déjeuner, se retourna et laissa son assiette se fracasser sur le sol. Au bruit alarmant, sa femme releva les yeux. « Richard, qu’est-ce qu’il te prend…? ». Elle aussi aperçut le jet de lumière qui liait la main de sa fille au chat luminescent. Peu à peu, la brillance s’éteignit et le chaton se leva de son panier. Après que tous ses maîtres eurent affiché une expression d’ébahissement, il prit la poudre s’escampette.

Très lentement, Laila se retourna vers ses parents, le visage couvert de joie.  « Je l’ai… je l’ai guérit!! ». Mais ses géniteurs ne semblaient pas tressaillir de bonheur. Ils avaient de la terreur inscrite dans leurs yeux, plutôt que de l’émerveillement. Après un silence inconfortable, son père s’élança vers elle, la prit par le col et la plaqua au mur.

-RICHARD! S’exclama sa femme, horrifiée. Mais il ne sembla l’entendre.

-Dis-moi, hurla-t-il à sa fille, DIS-MOI!! Comment as-tu fait ça? Qu’es-tu?!

-PAPA! PAPA! PAPA! Je ne sais pas!! Bredouilla Laila, terrorisée. La noirceur dans les yeux de son père lui nouait l’estomac. Elle ne l’avait jamais vu comme cela auparavant. La façon violente qu’il l’empoignait la faisait chevroter de douleur. Elle qui avait cru bien faire, ne savait même pas comment elle avait pu guérir le petit chat.

Ça ne prend pas longtemps pour qu’un enfant pleure après s’être écorché le genou, mais Laila ne versa aucune larme ce jour-là. Le jour qu’elle avait découvert ses dons de sorcellerie. Ce qui le suivit sera à jamais gravé dans sa mémoire. Ses parents reçurent la visite d’une étrange jeune femme, vêtue de vêtements excentriques. Elle leur pria de l’entendre parler et autour d’une tasse de thé, ils apprirent que leur fille était une magicienne. Leur réaction fut bien au-delà de l’imaginable. Le père fumait de rage tandis que la mère semblait ne plus être capable de respirer normalement. Quant à Laila, elle était enfermée dans sa chambre avec la stricte interdiction d’en sortir. « Y a-t-il un traitement possible? » bredouilla enfin la mère. L’envoyée du ministère la fixa, incrédule et expliqua en long et en large les possibilités infinies de Laila. Après quelques heures, elle repartit, essoufflée et découragée par le monde moldu.

Le reste de la semaine, le couple alimenta férocement la conversation sur qu’est-ce qu’ils allaient faire au sujet de Laila. Allaient-ils ignorer ce qu’elle était? Essayer de lui faire perdre ses pouvoirs? Continuer comme si rien ne s’était passé? Ou bien accepter cette anomalie et l’encourager à poursuivre son don particulier? Que diront les voisins? Et puis sa mère : elle venait de se faire nommée secrétaire d’état. Pourrait-elle s’en tirer avec une enfant magicienne? Et si ça se découvrait?

Le résultat de toutes ces questions hantera à jamais Laila. Une semaine après sa découverte de pouvoirs, sa mère fit ses valises et partit. Avant de l’abandonner complètement, elle alla voir sa fille. Elle lui expliqua que cela n’était pas une décision facile, mais que ça faisait des années qu’elle y pensait. Ce fut une mauvaise surprise pour son mari. Sa fille était un monstre à ses yeux ensuite sa femme le quittait après dix ans de mariage et le laissait tout seul à gérer l’anomalie de leur enfant. Assez pour le rendre dépressif. Il quitta sa carrière de politicien, vendit leur grande maison, déménagea dans un appartement quatre pièces dans le centre-ville avec Laila et reprit son ancien métier de journaliste. Depuis la guérison miraculeuse du petit chat, il n’adressa presque plus jamais la parole à sa fille. Lorsque celle-ci reçut la lettre d’admission à Poudlard, il la laissa se rendre au chemin de traverse et n’en parla plus. Elle revenait l’été et c’était tout. Lorsqu’elle était en ville, il s’éclipsait totalement des alentours de son appartement et ne laissait qu’une carte de crédit sur le comptoir pour que Laila se débrouille seule. Elle ne revit sa mère qu’aux nouvelles nationales, souriante à côté du premier ministre et du roi.

L’histoire familiale de Laila lui laisse un creux noir au fond de l’âme. Mais ce n’est qu’un chapitre dans sa vie. De la lecture lourde, certes, mais la suite n’est pas aussi sombre. Lorsqu’elle apprit qu’elle était sorcière, elle  se renseigna pour en  apprendre plus. Ce n’était que le début. Elle pouvait voir qu’elle avait tant à découvrir. Cela la sortit de son quotidien tendu avec son père. Les merveilles de la magie s’étalaient devant elle. Dans le silence de sa chambre, elle dévorait tout ce qui concernait la sorcellerie. Lorsqu’elle découvrit que l’entrée au Chemin de Traverse se trouvait à cinq rues de chez elle, elle s’y rendit tout de suite. Tous ses moments libres étaient consacrés à la visite de ce lieu fabuleux. La première chose qu’elle fit c’est d’aller changer tout son argent moldu en gallions. Elle se privait de choses moldues et fit tous ses achats au Chemin de Traverse. Pour ce qui était de ses vêtements, son père refusait qu’elle se promène à Londres avec des robes de sorciers alors il lui acheta toujours des habits de haute marque, son travail le laissant assez confortable.

Son entrée à Poudlard la bouleversa terriblement. Le premier mois, tout allait bien. Elle était assez sociable et s’était déjà formé des amitiés. Elle découvrait le château avec stupeur, était toute ouïe à ses cours et s’amusait merveilleusement. Lorsque les feuilles commençaient à tomber, elle se fit approcher dans le parc par un garçon de son année, alors qu’elle escaladait un arbre.

-Um, Laila?

-Qui est là?

-Ton cousin.

La jeune fille de 12 ans passa sa tête entre deux branches et fixa son locuteur. « Répète un peu ».

-Ton cousin. Mon père est le demi-frère de ton père.

Laila sauta en bas de son arbre. Son regard plein de points d’interrogation  poussèrent le garçon à raconter plus.

-Notre grand-père s’est marié deux fois, ne le savais-tu pas? Bref, de son premier mariage, il a eut ton père et sa sœur, notre tante aux États-Unis. Il s’est remarié avec une sorcière et ils ont eut mon père. Lui il s’est marié avec ma mère, une sorcière elle aussi. Et ils m’on eut. Donc je suis en quelque sorte ton cousin. Et en plus nous sommes nés le même jour.

Dur à avaler. Laila avait devant elle un gamin aux mèches rousses et aux yeux clairs et il prétendait être son cousin. Elle avait un cousin! Elle avait toujours pensé qu’elle était la seule enfant dans toute sa famille. Sa mère était une enfant unique, et la sœur de son père n’avait pas eut d’enfants. Elle ne savait pas qu’elle avait un oncle.

-Je ne savais pas que tu existais, ni que ton père existait. Mon père ne m’en a jamais parlé. Je n’ai jamais rencontré mon… notre grand-père.

-Oui, je sais. Quand notre grand-père s’est remarié, apparemment ton père lui en a voulu. Mon père ne l’a rencontré qu’une fois.

-C’est curieux tout de même… C’est presque comme si nous étions jumeaux, d’être né le même jour et de se retrouver ici… D’ailleurs, comment savais-tu que nous étions cousins? À ma connaissance nous nous ne sommes jamais rencontrés et il peut y avoir beaucoup de Clennam en Angleterre. Tu es bien Oswin Clennam?

-Oui c’est moi. Et puis notre grand-père savait que son fils avait eut une fille, tout de même. Et il savait que tu t’appelais Laila, et que tu étais née le vingt septembre. Donc voilà. J’espère que je ne vais pas regretter ce que je viens de te dire là, finit-il avec une grimace.

Laila secoua de la tête en déclarant qu’elle n’allait tout de même pas répudier son seul cousin! Ils discutèrent longuement, comme pour rattraper le temps perdu puis rentrèrent au château se séparant seulement pour aller se coucher.


Ils sont devenus comme des jumeaux, en effet. Ils s’entendent si bien, qu’ils n’ont même pas besoin de voir l’autre arriver pour savoir qu’il est là. Oswin devint un appui pour Laila et cette dépendance était réciproque. Elle rencontra son oncle et sa tante et la famille qu’elle n’avait jamais eut l’accueillit à bras ouverts. Elle passait ses vacances de Noël et de Pâques chez eux et leur rendait visite régulièrement durant l’été. Ils habitaient à Plymouth, dans le sud-ouest de l’Angleterre, mais pour des sorciers, le transport était beaucoup plus facile que pour les moldus. Tout aurait put être parfait, si ce n’était pas pour la tache de son enfance. Le départ de sa mère, la rejection de son père la rongeaient de l’intérieur. Malgré l’amitié d'Oswin, la splendeur de Poudlard, Laila ne se sentait pas parfaitement heureuse. Il y avait toujours quelque chose de plus. Elle essaya de trouver quoi. Elle essaya d’approfondir sa passion pour la lecture, puis entra dans une phase rebelle où elle ne travaillait plus pour ses cours, elle ne respectait plus les règles, elle ne parlait plus à personne sans omettre une insulte. Il avait fallut à Oswin beaucoup de courage pour la secouer. Il réussit et elle retrouva un rythme plus normal. En vérité, ce qu’elle préférait c’était d’étudier, d’être avec les autres, de se coucher sous le soleil chaud. Elle s’efforce encore à découvrir quelle est sa vraie passion.

Maintenant en cinquième année. La suite ne peut pas être prophétisée.





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