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 Exode 8:5 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte.

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Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Empty
MessageSujet: Exode 8:5 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte.   Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Icon_minitimeSam 9 Juin - 8:55

Battant des talons la surface de bois du bureau sur lequel je m’étais assis, je balayais des yeux la salle de permanence à laquelle j’avais été assigné en tant que surveillant. La majorité des élèves étaient des premières et secondes années de Serpentards, qui travaillaient, repliés au dessus de leurs affaires, mais il y avait aussi une élève de Gryffondor, qui rechignait à avancer dans sa dissertation et un Pouffsouffle, qui rien que par son regard, m’irritait. Mes prunelles sombres revinrent une fois de plus sur son visage, quand une seconde fois, il leva la main, dans un large soupir, ce dernier déconcentrant mes camarades. Une sorte d’épuisement m’envahit, et haussant les sourcils, j’ouvrais la bouche, exaspéré.
« Quoi, encore ? »
Il gonfla ses lèvres, dans une expression typiquement anglaise, typiquement arrogante, et je me mis à le détester tout bonnement, haissant le fait qu’il soit plus jeune que moi, pour ne pas pouvoir le frapper une bonne fois pour toute.
« Je ne sais pas comment on écrit « Whitechapel. »
Un élève de Serpentard, apparemment aussi exaspéré que moi à son égard, se retourna avec un large sourire étirant ses lèvres.
« C’est normal, tu sais, il ne faut pas t’inquiéter à propos de cela. Ce n’est pas pour rien que tu es à Pouffy. »
Un éclat de rire commun fusa dans la salle, laissant les Salazariens désopilés, et le Pouffy empourpré par une honte violente. La gryffondor, quant à elle, me foudroyait du regard, et je soutins ce dernier jusqu’à ce qu’elle baisse les yeux. Appuyant ensuite sur mes paumes, sautant à bas du bureau, je traversais la salle, me rendant directement face au bureau du garçon Jaune. Il leva vers moi un regard humilié, et je sentis mes lèvres s’étirer en un rictus menaçant.
« Alors. Veux-tu que je t’aide à écrire ce vilain mot ? Je peux te tenir le poignet, si tu veux. »
« Lâche moi, espèce… »
Je me penchais à sa hauteur, plaquant ma main sur la feuille déjà recouverte par son écriture brouillonne, approchant mon visage près du sien, mes yeux ancrés dans les siens.
« Tu sais, je ne suis pas absolument certain que Pouffy ait encore besoin d’avoir des points en moins. En bons derniers de la Coupe des Quatre Maisons, vous devriez tenter de remonter un peu. »
Il frissonnait de fureur, l’adorable chaton. Un rire moqueur s’éleva hors de ma gorge, et je me redressais, l’enveloppant d’un regard tueur. Il baissa définitivement les yeux, et je m’éloignais, claquant la cape noire de mon uniforme dans mon mouvement. Esquissant un geste vers la Gryffondor, je la vis secouer ses lourds cheveux bouclés, semblant se cacher sous leur draperie dorée. Je serrais les lèvres, mais décidais de ne pas l’emmerder, considérant qu’elle valait plus que cet élève incapable de Pouffy.
Retournant sur mon bureau, m’y asseyant en ramenant une cuisse contre moi, je recommençais à balayer la salle des yeux.

(…)

Lorsque la sonnerie retentit, j’observais le garçon ranger ses affaire, et prenant soigneusement soin de ne pas me regarder, sortit de la salle, dans des bousculades occasionnées par les Serpentards. J’attendais que soient sortis pour m’étirer, et descendant du bureau, traverser la salle. Une énorme tâche d’encre m’attendait sur le bureau de l’élève Jaune.
Frustré, je jetais un regard sur la porte. Si j’avais pu, je l’aurais tué avant. Glissant le bout de mes doigts sur la surface boisée, je tâchais l’épiderme de mes phalanges, jouant progressivement à me peindre la main. C’était étrange, ma fascination à l’égard de tout ce qui tâchait mes mains, à tout ce qui coulait, entrelacs sombres sur ma peau.
J’eus un simple sourire.

(…)

La salle de bain des préfets s’ouvrit en silence, et pénétrant dans ce qui ressemblait plus à l’antre d’un dragon venimeux qu’à une salle de bain. Veillant à ne pas faire entrer ma main encrée en contact avec quoi que ce soit d’humide, je constatais être seul dans l’endroit. Sortant ma baguette de ma poche, j’actvais à distance un robinet. Le bruit assourdissant des trombes d’eau explosant contre la surface lisse d’une baignoire me fit tourner les yeux vers la sirène, pas très rassuré qu’elle observe à chaque fois les personnes entrant ici. Allant m’accroupir près de la baignoire, qui peu à peu se remplissait, les bulles de savon gonflant à la surface de l’eau à la manière d’un animal faisant le gros dos, , j’effleurais du bout des doigts l’eau chaude. Puis me relevais, et me déshabillant rapidement, me laissait ensuite entrer dans l’eau, gardant ma baguette avec moi. Avec cette dernière, je m’amusais d’abord à faire voleter des bans de mousse, puis à les transformer en animaux fantastiques. Les minutes s’écoulaient quand la porte s’ouvrit. Sursautant, je me retournais, cherchant à voir qui était entrer. Incapable d’apercevoir à cette distance l’identitée de la personne, je m’accroupissais alors dans l’eau, à la manière d’une grenouille, et me cachant sous l’énoooorme tas de mousse colorée, veillais à surveiller la personne, pour la surprendre.
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Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Empty
MessageSujet: Re: Exode 8:5 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte.   Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Icon_minitimeLun 11 Juin - 22:19

    "Ce type est d'une prétention... Si, si, si, je te jure, Léa, il est tout simplement ignoble.
    -En même temps, il avait pas vraiment tort.
    -Certes, il était pas très futé. Mais de là à se payer sa tête... Helen, dis-lui combien c'est ignoble, toi!"


    La jeune Poufsouffle leva les yeux de son manuel de botanique pour regarder la gryffondor et son amie qui discutaient depuis quelques dix minutes devant elle dans la bibliothèque. Les trois filles s'étaient données rendez-vous ici pour s'entre-motiver à l'approche des exams. Helen connaissait assez peu Alice, la rouge et or, mais elle n'avait pourtant pas objecté quand Léa avait insistée pour que la soeur de son petit ami se joignent à elles pour leurs révisions. Elles avaient donc déménagé leurs affaires à la bibliothèque pour pouvoir être en sa compagnie.

    La poufsouffle adorait ce genre de ragot d'habitude. Mais là, elle s'était plongé dans son manuel de botanique. Ce n'était pourtant pas sa matière préférée, mais elle s'en sortait, et au final c'était assez amusant. Ce n'était certainement la manière la plus sérieuse pour réviser, mais après tout, ça vallait ce que ça vallait. Plus en tout cas que ce que faisait les deux autres filles qui ne cessait de discuter sur un incident intervenu le matin-même dans la salle de permanence. Il semblait que Lorcan, le préfet de Serpentard, n'était pas si fréquentable que cela. Helen s'était résigné à la chose, mais elle ne pouvait, cependant, pas s'empécher de le trouver mignon. Peut-être son petit côté asiatique qu'elle aimait. En tout cas, physiquement parlant, il n'avait rien à envier à son dernier béguin en date, Larry Hog, un Gryffondor de dernière année. Mais pourtant, il l'avait totalement eclipsé alors qu'elle n'avait même pas encore essayé de se rapprocher de lui. Quelque peu déprimée par la nouvelle, Helen n'avait plus aucun autre centre d'intérêt que ces révisions. Fini de révasser!

    La jeune Jaune & Noir leva donc les yeux sur Alice, une jeune sorcière originaire de France, mais dont le père, qui s'occupait d'elle, habitait en Angleterre. Somme toute, comme elle, quoi.

    "Je sais pas, Alice, j'étais pas là. Peut-être qu'il était de mauvaise humeur. En même temps, les serpentards ne sont pas réputés pour leur gentillesse, il aurait du demander de l'aide à un de ses camarades, tu crois pas?"

    Alice ouvrit la bouche pour protester, indignée, puis la referma. Helen esquissa un sourire d'excuse. Replongeant son nez dans son livre, elle tenta de se faire pardonner en ajoutant :

    "Mais c'est vrai que c'est pas digne d'un préfet, je suis entièrement d'accord."

    Malgré les mauvaises nouvelles sur le magnifique préfet, Helen ne voulait pas l'attaquer vraiment, il avait forcément un bon côté. On ne pouvait être aussi mignon sans avoir un minimun de gentillesse, n'est-ce pas? Elle restait donc assez indulgente, peu encline à critiquer sur lui derrière son dos, préférant de loin l'image qu'elle avait de lui. C'était sans compter Alice, bien sûr...

    "Helen. Je te jure, t'aurais été là, à ma place, tu serais sortit de tes gonds!
    -Alors heureusement que je n'y étais pas..."


    Devant le silence criant de ses amies, Helen releva les yeux.

    "Quoi?"

    Elle leva les mains dans un geste défensif :

    "J'aurais réussit qu'à faire perdre des points! C'est un préfet après tout. Mais le mieux, c'est encore d'aller voir un directeur de maison, celui de serpentard peut-être, pour lui expliquer...
    -Les chiens font pas des chats Helen, il doit être aussi infecte. Il m'enverra surement gentillement promener...
    -Je propose, c'est tout. Sinon, retourne voir le garçon en question et va voir notre directrice de maison. T'as été témoin et d'autres aussi sûrement, t'arrivera certainement à prouver qu'il a été injuste et même méchant et qu'il est pas à la hauteur. Au mieux il sera remplacé, au pire il se fera tapé sur les doigts. Non?"


    Alice sembla réfléchir à ses mots. Léa renchérit :

    "Mais oui, bien sûr! Helen a raison! Ecoute, on va le chercher puis on ira voir ma directrice de maison et vous lui en parlerez, d'accord?
    -Je veux bien, mais moi, j'ai cours à 16h!
    -Allez-y maintenant, tu seras à l'heure pour ton cours. Au pire, la prof te donnera un mot d'excuse ou t'accompagneras dans ta classe pour justifier ton retard.
    -Elle a pas cours cette aprem?
    -Non, non. Je le sais, j'ai été la voir il y a deux semaines vers 14-15h.
    -Et les révisions?
    -T'occupe, on verra ça jeudi, entre midi et deux."


    Léa et Alice échangèrent un regard puis opinèrent du chef.

    "Okay. Merci Helen.
    -Tu vas faire quoi, toi?
    -T'inquiètes pas, je vais finir mon chapitre, et puis je descenderais dans la salle commune continuer mes révisions. Ou alors, j'irais faire un tour sur le terrain de quidditch pour me détendre.
    -D'ac, alors on se retrouve ce soir pour dîner?
    -Pas de soucis."


    Helen les regarda ranger leurs affaires et répondit à leurs sourires alors qu'elle partait avant de se retourner sur son manuel. Dans la solitude qui était soudain la sienne, la poufsouffle se sentait soudain totalement démotivée. Soupirant, elle se força à finir sa phrase sans le moindre intérêt pour ce qu'elle lisait puis fourra son livre dans son sac qu'elle jetta sur son épaule avant de se lever. Après avoir pousser sa chaise, la jeune fille sortit de la bibliothèque et entreprit de descendre les escaliers. Peut-être devrait-elle chercher Laila, l'attendre à la fin de ses cours au lieu de perdre son temps à s emotiver pour lire ses fichus notes...

    "Hey! Helen!"

    L'interpellée se retourna et sourit en voyant Amélia débouler dans les escaliers :

    "Salut Amélia! Comment tu vas?
    -Bien et toi?
    -Ca pourrait aller pire, lui répondit Helen dans une grimace quelque peu comique.
    -Dis, tu pourrais me rendre un service?
    -Oui, bien sûr, je t'écoute. Tu veux quoi?
    -Et bien, j'ai perdu ma bague ce matin. Enfin, quand je suis allée en cours, je l'avais plus. J'ai fouillé partout sauf à un endroit, mais je peux pas y aller, j'ai cours jusqu'à 20h et j'ai peur que quelqu'un me la pique avant que j'y aille, tu pourrais aller vérifier?
    -Oui, c'est où?
    -En fait... c'est dans la salle de bain des préfets.


    Helen n'hésitait jamais à donner un coup de main ou à aider ses amies, mais là, la préfète lui demandait vraiment un truc impossible. Si tout se passait bien, Helen pourrait y avoir accès l'année d'après, mais pour l'instant, elle n'y avait aucune autorisation. Aussi, elle haussa un sourcils, prudente :

    "Mais... J'ai pas le droit d'y aller.
    -Je sais bien, je sais bien, mais j'ai personne à qui demander sinon. Tu veux bien faire ça pour moi? Je dois y aller...
    -Oui, bien sûr, mais si je me fais chopper...
    -Dis-leur que c'est moi qui t'ai autorisé... s'il te plait, Helen..."


    Un peu embétée de devoir violer le réglement, la jeune poufsouffle hésitait mais face à la supplication de son amie de dernière année et les regards qu'elle échangeait avec ses camarades qui l'attendait en bas des escaliers, signe évident qu'elle était pressée, elle ne s'étendit pas et accepta.

    "Okay, d'accord.
    -Merci, Helen, je te r'vaudrais ça!"


    Et Amélia disparut dans les escaliers avec un dernier sourire d'excuse, laissant son amie dans les escaliers au proie de la foule qui descendait elle aussi à l'heure de du début des cours. Se faisant bousculer, Helen continua son chemin pendant quelques mètres lentement. A présent, que devait-elle faire? Continuer son chemin, réviser dans sa salle commune et aller rendre service à Amélia plus tard? Ou faire demi-tour, fouiller dans la salle de bain des préfets puis revenir réviser après? Non, elle n'allait pas se balader dans la salle de bain avec son sac de cours...

    Il fallut une bonne dizaine de minutes à la jeune McKyram pour se retrouver face à l'entrée de la salle de bains des préfets, le temps de descendre dans son dortoir, poser ses affaires, vérifier qu'elle n'oubliait rien et de remonter puis atteindre le lieu interdit sans que personne ne le sache... Helen hésita plusieurs minutes devant la porte, se sentant un peu coupable et craignant être prise en flagrant délit. Mais après tout, qui s'amuserait à venir se doucher à 15h de l'aprem? La jeune Poufsouffle tenta de se raisonner tant bien que mal avant de se décider à prononcer le mot de passe que lui avait filé Amélia l'an passé "au cas où" Helen aurait eu envie de faire trempette. Jusqu'à aujourd'hui, il ne lui avait jamais servit, puisqu'elle n'était pas du genre à violé le réglement... généralement. Mais si c'était pour une amie... et que celle-ci était préfète alors... Il n'y avait aucun mal... n'est-ce pas?

    Elle resta quelques secondes immobile sur le pas de la porte qui venait de s'ouvrir puis se fit violence pour entrer. Quelque peu nerveuse, son regard balaya la salle de bains à la quète, inconsciemment, de la bague en question. Amélia ne portait qu'une seule bague. Une en or offerte par sa mère pour ses 17 ans. Dans tout ce blanc, la trouver ne devrait pas être difficile. Sa priorité serait de vérifier Dans la baignoire. Amélia avait pu la perdre en nageant.

    ...

    Figée sur place, Helen regarda la mousse dans l'immense piscine. Il y avait quelqu'un. Elle était grillée, définitivement. Tentant de calmer les battements de son coeur, la poufsouffle tenta de se raisonner. Quelqu'un pouvait avoir oublier de vider l'eau du bain, c'était possible. Ou bien l'avait-il remplit le temps de faire un aller-retour pour prendre ces affaires pour se détendre... En laissant ses vétements sur le carrelage? Là, elle ne pouvait plus se voiler la face, il y avait quelqu'un. Quelqu'un qui l'avait entendu rentrer. Quelqu'un qui ne tarderait pas à se manifester. Quelqu'un qui lui enleverait des points et ce serait bien fait pour elle d'avoir voulu rendre service. Elle devait partir! Immédiatement! Avec un peu de chance, le préfet, ou le capitaine de quidditch, ne l'avait pas vu, peut-être était-il au toilettes, savait-on jamais. Elle avait encore une chance! Mais alors pourquoi ses pieds refusaient-ils de bouger? Pourquoi restait-elle figer sur place comme si on l'avait pétrifier sur place? Pourquoi, bon sang, venait-elle d'avancer? C'était dangereux... vraiment très dangereux...
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Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Empty
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Camouflé sous les lourds drapages d’une mousse qui, imperceptiblement, grésillait autour de mon corps, je contemplais, sans bouger, l’élève qui était entré. Mes yeux, moqueurs, se jouaient de la barrière savonneuse, et effleuraient, sans y toucher, le corps, le regard, le visage de la demoiselle. Accrochèrent, en glissant sur la poitrine, le détail insolite d’un médaillon jaune et noir. C’aurait été facile de bondir, de siffler, de cracher, à la manière d’un chat en colère. Je ne la connaissais pas, et appartenait à la Maison que je ne supportais pas de Poudlard. Etudiant avec défiance son visage, je ne reconnu pas le visage méprisé du préfet des Jaune et Noir. Quelle étrange et amusante situation ; les Pouffy défilaient tous devant moi les uns les autres pour que je leur hurle dessus, au final ? Je trouvais que cela relevait d’une agréable initiative à mon égard, malheureusement, je pouvais aussi facilement me lasser d’eux, ne croyez-vous pas ? Allons… une petite victime de plus ne jouerait pas en défaveur à ma réputation. Mes lèvres, au ras bord de l’eau, s’étirèrent en un sourire, et sans un bruit, je m’immergeais totalement dans l’eau.


Ombre qui glisse, mousse savonneuse, traqueur mutin.

Que faisait-elle là ? Est-ce que par hasard quelqu’un ayant ce droit lui avait demandé de venir ici, ou bien, hasardeuse à déclencher le destin, dans son audace enfantine, elle venait provoquer sa chance ? Par pur plaisir, peut-être, de se vanter ensuite d’avoir admiré l’endroit ? Après tout, n’importe quel élève de ce château pouvait bien désirer, par avidité, pénétrer ce lieu convoité pour sa richesse et ses beautés. Ne serait-ce que par plaisir de voir la légendaire sirène se pavaner sur la fenêtre cristallisé du lieu. Oh, j’aurais succombé, moi aussi. J’aurais succombé, si jamais je n’avais eu le privilège de rentrer ici en bonne et due forme.

Grenouille noire.

L’éclat de l’eau, ma baguette vrillant l’air, et dans un rapide sortilège, la demoiselle se retrouva envoyée, échine contre sol, au ras du bassin. L’attrapant par les cheville, dans élan sadiquement amusé, je la fis me rejoindre, venant se coller dans son dos, mes mains humides glissant sur la base de sa poitrine, mes doigts encore chauds venant épouser la forme de sa gorge. Je l’écoutais se débattre, essayer de reprendre ses repères et son souffle, et me mit à rire.

« C’est interdit de venir ici quand l’on n’est pas invité. »

N’importe qui d’autre que moi aurait été gêné. Embarassé. Voir, n’aurais jamais osé faire cela au risque de se voir virer de Poudlard pour abus. Mais ne ressentant aucun malaise qui aurait pu susciter une quelconque réaction « normale », qui m’aurait fait la lâcher, je continuais mon exploration tactile de sa gorge, mes lèvres près de ses cheveux humides. J’appréçiais autant que je réfutais. Je ne pouvais rien ressentir pour une Pouffy. Même pas de la haine, puisqu’elle se faisait actuellement mon jouet et que je ne pouvais mépriser les objets ludiques. Seulement, un plaisir, moqueur, voir sadique, qui décuplait en moi ce sentiment malveillant d’omnipotence sur elle. Elle était humaine ? Au temps pour moi. Mais je la faisais ma chose, rien que pour une heure. Voir une nuit. Osef.

« Alors, alors, petite, tu m’expliques ce que tu faisais là ? »

Du bout des doigts, effleurant le galbe d'une cuisse, je m’emparais de sa baguette, pour la laisser toute à mes occupations.


HS: C'est tout petiiiit... m'enfin bref. J'espère que ça t'ira ^^ Et si Victoire tient à s'intégrer au rp: come on, ma belle. Lorcan avec deux filles, ça va roxxer.
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Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Empty
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    Depuis l’incident dans la salle de permanence, Alessandra était sur les nerfs. Pourquoi donc son foutu camarade préfet avait tenu à ridiculiser ce crétin de Poufsouffle ? Certes, il le méritait, mais ce n’était pas une raison pour s’afficher face à une quinzaine d’élèves de toutes les années et de toutes les maisons. Les Serpentards avaient une réputation à tenir, Lorcan l’avait toujours fait avec brio mais sur ce coup, il avait foiré. Et plutôt bien foiré. Le pas décidé d’Aless faisait s’écarter toutes les personnes présentes dans le couloir et les longs cheveux rouges battaient contre le dos droit de la jeune femme. Son regard noir prévenait n’importe qui qu’elle était de mauvaise humeur et, c’était bien connu, la seule chose à pouvoir la calmer était un bon bain. Seulement, elle avait encore deux heures de cours à endurer avant de pouvoir aller se relaxer dans la mousse parfumée de la salle de bain des préfets.

    Poussant la porte en bois, Aless remarqua qu’elle était en retard et s’excusa auprès de son professeur de métamorphose. Son regard se fit plus doux, son sourire plus profond et mystérieux et, comme d’habitude, le professeur lui pardonna son arrivée tardive, qu’il mit sur le compte de son statut de préfet. Ces profs, il fallait vraiment qu’ils apprennent à voir au-delà des apparences. Enfin, non, car elle se retrouverait collée bien plus souvent et sa réputation d’élève modèle froide comme la glace et inatteignable s’en retrouverait tâché. C’était préférable comme ça, tout compte fait. Le silence qui s’était abattu sur la classe à son arrivé se dissipait lentement et les conversations reprenaient, murmurées bien évidemment, pour ne pas se faire enguirlander par le professeur. Seule, à sa table, Aless jeta un regard froid au Gryffondor qui se retourna pour lui demander comment elle allait et si elle avait vu Lorcan.

    Les deux heures passèrent lentement, très lentement, et les envies de meurtres devenaient de plus en plus présente dans l’esprit de la rousse à chaque fois qu’elle entendait quelqu’un parler de l’incident de ce matin. Quel sal petit rat mijoté avec du curry en poudre… Elle allait lui faire bouffer son sourire suffisant si seulement il osait lui répondre que le Poufsouffle l’avait cherché. Il n’avait fait que lui poser une question et ce petit asiatique à grosse tête avait joué au plus malin. Certes, il était plus malin mais ce n’était pas une raison, par le slip de Merlin ! Enfin, la cloche sonna et Alessandra ramassa ses affaires en vitesse, dévala les escaliers qui menaient aux cachots et donna rapidement le mot de passe. Les quelques élèves déjà présents dans la salle commune dirent à leur préfète qu’ils n’avaient pas aperçu Lorcan de la journée et c’est avec rage que la rousse balança ses livres sur son lit avant d’attraper une serviette et des habits propres. Un bain. Il lui fallait un bain brûlant.

    Les couloirs étaient bondés mais la Serpentard n’eut aucun problème à se frayer un chemin jusqu’à la porte qui donnait sur les gigantesques bains réservés aux préfets. Elle murmura le mot de passe, poussa la porte et vit les montagnes de mousse déjà présents dans la baignoire. Ainsi que Lorcan, tenant une jeune fille par la gorge. Poussant un profond soupir, ma voix s’éleva dans la salle.

    Lorcan, laisse donc cette gosse tranquille. Elle est trop jeune pour toi, il me semble que tu préfères les ancêtres comme ma grand-mère.

    Alessandra ferma la porte derrière elle, se déshabilla sans plus de cérémonie et plongea dans l’eau, laissant sa longue chevelure faire des volutes rouges dans la mousse. Puis, elle rejoignit Lorcan et la gosse, détacha lentement les doigts du serpent du coup de la brune et la laissa s’éloigner un peu, prenant bien soin de garder une main sur son bras. Il ne fallait pas qu’elle parte déjà. Aless n’était pas pour la maltraitance ou ce genre de chose mais si la gosse se laissait faire, c’est qu’elle était partante. Alors bon, elle n’allait pas se mêler de la vie sexuelle de son crétin d’ami, mais autant qu’il verrouille la salle de bain s’il voulait être tranquille.
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Exode 8:5	 (8 :1) L'Éternel dit à Moïse : Dis à Aaron : Étends ta main avec ta verge sur les rivières, sur les ruisseaux et sur les étangs, et fais monter les grenouilles sur le pays d'Égypte. Empty
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    Pour Helen, les évènements se passèrent bien trop rapidement pour qu'elle puisse régair sainement. Sans trop comprendre comment ou pourquoi, elle s'était retrouvé projeter contre le mur ce qui lui avait tiré un gémissement de douleur précédé par un cri de surprise. Elle eut à peine le temps de poser les mains sur le sol pour tenter de se relever qu'elle se sentit attiré dans le bassin. Elle tenta de résister mais les mains qui la tirait, outre le fait qu'ils lui tiraient des soupirs affolés et accélérait les battement de son coeur sous la panique, ne lui laissaient pa sla moindre chance de lui échapper. Quelques secondes plus tard, Helen était entièrement dans l'autre, criant, et se débattant. Un corps venait de se coller contre le sien et des mains venaient toucher sa poitrine. La poufsouffle se débattit de plus belle, encore plus térrifiée si c'étai possible par le rire de son agresseur. Elle ne comprenait absolument rien de ce qui se passait, ne voulait même pas essayer de comprendre, elle souhaitait juste s'enfuir loin d'ici, échapper à son agresseur. Une voix retentit mais, trop choqué et terrifiée, Helen n'en saisit pas le moindre mot. Si elle avait eu un minimun de sang-froid, elle aurait reconnut la voix mais elle se débattait, encore et encore.

    "Lâchez-moi! Au secours!"

    Helen tentait de crier le plus fort possible tout en échappant à son agresseur tout en essayant de garder son souffle. Une main glissa vers sa gorge, un souffle contre sa gorge lui firent l'effet d'un coup de fouet et elle hurla de plus belle. L'homme semblait bien s'amuser. Et cette fois, quand il parla, si Helen ne reconnut toujours pas son agresseur, elle comprit ce qu'il lui disait.

    "Lâchez-moi! Vous avez pas le droit! Laissez-moi.... Laissez-moi partir!"

    Tout cela, essouflée, sa voix trahissant la peur panique qui s'était emparé d'elle. Un autre appel à l'aide lui échappa quand la main de son agresseur lui toucha la cuisse. Heureusement qu'elle était habillé. Mais pour l'instant, elle n'avait le loisir de s'en réjouir. La sorcière prit à peine conscience de l'entrée d'une autre sorcière dans la salle de bains des préfets, trop occupée à se débattre. Elle ne se rendit compte de sa présence que lorsqu'elle passa devant elle et que sans la moindre gène, elle se déshabilla pour rentrer dans l'eau. Tout ausi paniqué qu'elle fut, Helen était indignée, choquée de voir l'impassibilité de la serpentarde qui l'ignorait alors qu'elle se débattait pour échapper à son agresseur. Comment pouvait-on agir ainsi devant une agression de la sorte?

    Bientôt, cependant, la serpentarde les détacha l'un de l'autre. Helen était presque en larmes, le souffle court, le coeur battant, paniquée, elle frissonait, et pas de froid. La poufsouffle s'éloigna le plus possible du préfet, le bec cloué de terreur en comprenant que son agresseur n'étaita autre que Lorcan, le préfet de Serpentard. Helen n'osait même pas imaginé ce qui se serait passé si Warrington n'était pas arrivée à temps. La préfète ne semblait pourtant pas disposé à la laisser partir. Helen ignorait pourquoi, partagé par l'incompréhension de son comportement : elle semblait d'en avoir rien à faire mais l'avait quand même sauvé. Se plaquant contre le mur du bassin, laissant Warrington entre elle et Lorcan, elle tenta de se calmer, mais c'était absolument impossble avec son agresseur en face d'elle. La sorcière remit ses vétements en place, se passant la main dans les cheveux comme pour paraitre plus présentable. Elle se snetait mal. Vraiment mal, presque malade par ce qu'il venait de se passer. Etrangement la main de Warrington sur elle ressemblait autant à un crime qu'à un soutien. Sûre que si elle la lâchait, Helen allaits sombrer, elle avait ce besoin de se raccroche rà quelque chose. La voix quelque peu tremblante, Helen s'adressa à son ancien béguin :

    "R-Rends-m-moi ma b-baguette!"

    Aussi choquée qu'elle avait pu être, Helen avait été parfaitement consciente de tous les gestes de son agresseur. Helen posa sa main sur celle de Warrington, encore secouée, comme si elle allait la sauver, comme si tant qu'elle était là, rien ne pourrait lui arriver. Oui, Helen avait peur. A vrai dire, sa terreur denfant face à son cousin Harry dans les couloirs du manoir n'était absolument rien par rapport à ce qu'elle venait de vivre.
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« ... »

"Lâchez-moi! Au secours!"

Cela avait quelque chose de particulièrement désopilant que d'imposer la terreur à un être humain. Autant l'animal n'avait pas le cerveau aussi adapté que l'humain à la panique: et se soumettait totalement, autant l'Homme avait cette fabuleuse particularité que de chialer de mordre en même temps. Lorsque la souris se savait piégée par le chat, définitivement, elle abandonnait tout espoir, et s'immobilisait, de manière à ce que le chat la tue plus rapidement. Cela appartenait au cours des choses: on laissait le supérieur vous dominer, pleinement.
Nonobstant, chez l'être humain, il semblait évident que le fait de se laisser intimider sans tenter quoi que ce soit afin de préserver son honneur, sa dignité, ou sa vie, était une chose aliène. Alors les mouvements soudainement brusques de la demoiselle, remise en peu de temps de son choc ne m'étonnèrent pas plus que cela. Quoique je serais certainement beaucoup plus amusé par les êtres vivants qui, comme moi, se conduisaient de manière animale, à mon égard. Ceux qui se débattaient furieusement dans leurs conditions humaines n'avaient au final que si peu d'intérêt à mes yeux. Je les voyais comme des masques de chair qui bavardaient, glissant dans ma vie, sans qu'aucun ne reste véritablement accroché à mes souvenirs.

Pourquoi tu es si méchant, Lorcan?

"Lâchez-moi! Vous avez pas le droit! Laissez-moi.... Laissez-moi partir!"

Mes prunelles allumées par le feu d'une malice pernicieuse, je laissais s'égrener les secondes; trop lentes pour Miss Pouffy; Helen, quand la porte s'ouvrit, et que jetant un coup d'oeil par dessus l'épaule de la demoiselle brune et trempée, je regardais s'approcher la silhouette longiline d'une rousse qui avait, elle par exemple, sut graver sa face de petite poupée dans ma mémoire. Miss Warrington. Alessandra. Les voyelles entrechoquées de son prénom ravissaient ma langue, et j'adorais venir hanter ses pas, pour susurrer son prénom à son oreille. Cela ne se faisait pas d'avoir un prénom aussi jouissif. Les sifflements de "less" me laissaient rêveur... Mauvaise joueuse.

« Lorcan, laisse donc cette gosse tranquille. Elle est trop jeune pour toi, il me semble que tu préfères les ancêtres comme ma grand-mère.»

Mes prunelles s'étrécirent, et comme une décharge électrique, j'ouvrais brusquement mes doigts, lâchant les poignets fragiles de Miss McKyram. Les yeux dardés sur le corps de la rousse qui se dénudait, sans que le moindre trouble ne vienne déformer mes traits, je contemplais son corps, sans passion lascive, uniquement fasciné par la blancheur de sa peau et les boucles de feu qui heurtaient les courbes de sa poitrine. Elle ignora superbement le fait que je sois un individu mâle, et pénétrant dans l'eau, s’enorgueillit de l'accomplissement de centaines de fantasmes masculins. Pas les miens, malheureusement. Un canon qui rentre dans l'eau, totalement nu, rien que pour; ça ne faisait aucunement parti de mes désirs sexuels. Haussant un sourcil dubitatif, je détachais mon regard d'elle, me concentrant brièvement sur ma jeune victime. Affolée, comme il se le devait, elle avait posé sur moi un regard aussi empli de colère que de larme.

"R-Rends-m-moi ma b-baguette!"

Mes yeux noirs restèrent une seconde silencieux à ce qui, pour moi, paraissaient pures élucubrations, puis ma main réagit, et tendant le bras, sans mot dire, je lui rendais sa baguette, tenant cette dernière avec une infinie précaution. Lorsque cette dernière quitta mes doigts, je repassais ma baguette dans mon autre main, jouant à faire rouler cette dernière entre mes phalanges. Un soupir fusa d'entre mes lèvres, tandis que je constatais de l'attention vrillée sur moi.


« ... Arrête, Lessie. C'est pas comme si j'allais abuser d'elle. S'tu pensais ça,... bah....»

Ma main se posa sur la joue blanche de la poupée de porcelaine, et un sourire moqueur vint étirer mes lèvres, tandis que je jouais à caresser les formes délicates de la mâchoire de mademoiselle Warrington. La texture douce de la peau entretenue, sous mes doigts, me brûlait autant qu'elle m'attirait, et je me demandais, vaguement intéressé, quel visage Alessandra avit, lorsqu'elle pleurait. Mes yeux se firent soudain plus rêveurs, moins cruels, et sentant la courbe de mes paupières se détendre, je reprenais vivement une expression boudeuse.
« ... Tu me connais très mal. »

Silence. Brève étude de ses lèvres.

« ... Aless... t'as cassé mon jeu. »

Jamais une seule seconde je n'avais crains de passer pour un dangereux psychopathe. Pas une seule seconde je n'avais crains d'être renvoyé de mon poste. Les efforts fournis à l'égard de la maison Serpentard ne déterminaient que trop à quel point je m'étais engagé pour mes camarades. Jamais je n'avais discrédité un Serdaigle, et parfois, je rétablissais justice en faveur d'un Gryffondor. La minorité absolue des Poufsouffle ne pouvait pas influencer sur quoique ce soit en ma faveur. J'avais de toutes façons trop bataillé pour parvenir à mon rôle de préfet. S'ils se battaient pour faire remarquer à quel point j'étais cruels, n'étaient-ils définitivement imbéciles? Arrogants, ambitieux, prêts à tout pour parvenir à nos fins: n'était-ce pas là la définition même des Serpentards? Et si Miss McKyram appartenait un tant soit peu à la dignité des Jaunes, alors elle ne s'énerverait pas. Parce que si elle le faisait, elle massacrait l'image de l'être humain capable de refouler sa colère. J'eus un vague sourire, considérant mes dires comme les termes humains les moins plausibles. Toujours était-il qu'au moins, je me comprenais.

Contournant les demoiselles, et attrapant mon jean's, que j'enfilais dans le bassin, je quittais la baignoire, souplement, pour me redresser sur son rebord, et me rendant à la porte d'entrée de la salle, je fermais avec soin les battant, les verrouillant par la même occasion. Puis, je m'en détournais, et posais à nouveau mon regard sur les deux filles, desquelles je me rapprochais, venant m'asseoir sur le rebord de la piscine.

« Bien. Maintenant, mlle McKyram, je vais vous accorder un tant soit peu d'attention... Laisse moi deviner. Un certain camarade de ta maison s'est plaint, l'histoire s'est répandue (je montrais du doigt Alessandra) raison pour laquelle notre adorable amie est ici-présente, ET, je suppose, vous comptez me faire la morale toutes les deux. Bien. Allez-y, je vous en prie. »
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Lorcan L. Scamander

Lorcan L. Scamander
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Localisation : Noyé dans tes yeux.

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Âge du personnage: 22 ans.
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RP abandonné, pour cause de décès du personnage de Helen McKyram.
Amen.

<3 Aless, dear rousse, je veux quand même rp avec toi.
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